Le président de Ferrari, Sergio Marchionne, a récemment affirmé que son écurie de la formule 1 était une probabilité pour 2020. Un départ qui ferait sans doute parler tant le constructeur italien a marqué l’histoire de cette compétition. Cependant, Marchionne a récemment donné le feu vert à Alpha Roméo pour devenir le sponsor titre de Sauber. Il faut dire que cette annonce a beaucoup surpris les observateurs du circuit. Cependant, la menace avait été brandie dans l’optique de l’adoption de moteurs beaucoup trop simples.

Des négociations sont en cours

Après avoir confirmé sa position, le président de Ferrari n’a pas manqué de préciser que des négociations étaient en cours pour trouver une solution à ce qui ressemble désormais à une impasse. En effet, Marchionne a affirmé que son groupe ne pouvait pas accepter que certaines règles fondamentales soient changées.

Pour le moment, il affirme que le dialogue évolue afin de trouver un point de convergence pour toutes les différences. Toutefois, la position de Ferrari reste claire sur le sujet : l’accord qui a été trouvé avec Sauber expire en 2020. À cette date, nous saurons si Ferrari sera toujours dans la F1 ou pas. Selon plusieurs observateurs, l’éventualité d’un départ de Ferrari est sérieuse, car les différences sont non négligeables. Cependant, un compromis reste envisageable pour le bien de la formule 1.

Le principal point sur lequel Ferrari ne cesse d’insister, c’est le fait qu’il ne faut pas entraver le droit au développement technologique au niveau des voitures de course chez http://colombochallenge.fr/. Il ne faudrait pas alors rendre les voitures égales à tel point qu’elles ne seraient plus égales sur le plan technologique. De plus, si la direction n’est pas celle-ci, il faudra redoubler d’efforts afin de parvenir à une solution largement partagée.

Plusieurs doutes sur le plafonnement des budgets

Les inquiétudes de Ferrari concernent non seulement les moteurs, mais aussi un éventuel plafonnement des budgets. En effet, Liberty Média prévoit une rencontre avec les différentes écuries afin de mieux discuter sur ce concept. Cependant, l’italien n’est pas tout à fait convaincu que celui-ci peut facilement être mis en œuvre. Le président de Ferrari affirme en ce sens qu’il est le premier à avoir initié la baisse des budgets. Cependant, il estime que le fait de plafonner les budgets désavantagerait toutes les équipes, notamment dans leur gestion. Chez Ferrari, c’est la gestion des ressources humaines qui va le plus porter problème.

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